Nouvellement apparu dans les emplois du temps des collégiens en cette rentrée 2022, ce créneau, assuré par madame Marylin Aydin et monsieur Ludovic Baumann, tous deux assistants Éducation Vie Scolaire, interpelle. L'équipe du blog en a décrypté le but lors d'une interview avec madame Aydin.
A quoi sert cette heure ? Quel est son objectif et pourquoi on a instauré ce nouveau créneau ?
Cette heure sert à suivre les élèves au niveau des absence, retard, sécurité ou conflits. Il s'agit de gérer la classe en sa globalité et à découvrir les élèves en classe entière. Cela permet également aux élèves de découvrir les surveillants et cela est relativement important car on peut établir des liens élève - surveillant. Au fil de l’année il y aura différents thèmes, mais dans un premier temps, on vérifie que tout le monde arrive à se connecter sur Ecole directe et sur Caliss. Ensuite, on assure le suivi scolaire. Au courant de l’année, cette heure sera également axée sur la prévention, notamment de jeu dangereux. Enfin, cette heure a aussi pour fonction de pouvoir transmettre rapidement des informations importantes, urgentes.
Que devons-nous retenir de cette heure ?
En global, à la fin l’objectif est de se savoir que c’est une heure de suivi, de sensibilisation et d’échange.
Elle nous servira à l'avenir ?
Plus tard, cette heure nous permettra d’être plus autonome et d’être protégé au niveau de la prévention sur plusieurs thème différents.
Est-elle évaluée ?
Non, cette heure n’est pas du tout soumise à une évaluation, mais il y a un contrôle régulier des affaires à toujours avoir sur soi. Cette heure n’est pas là pour être notée, elle est la pour pouvoir accompagner les élève au mieux.
Pourquoi n’existe-t-elle pas au lycée ?
Elle n’existe pas au lycée car c’est une année de test, mais elle sera peut-être étendue au lycée dans les années à venir. Nous avons aussi remarqué que les lycéens en avaient moins besoin que les collégiens, mais il n’est pas exclu qu’un jour un surveillant prennent une classe du lycée pour faire une heure d’HVS.
Interview par Magalie Gondrexon