1.Des souvenirs que l’on voudrait oublier
Cette histoire se passe quelques semaines après L’histoire d’Octosquid. Le soleil brille, le bruit des vagues est apaisant et le sable est chaud. Vous l’aurez deviné : C’était par une belle journée d’été. Deux jeunes personnes était allongées sur deux serviettes de plage. Ils s’agissaient D’EvilSquid et Octoboy
Evilsquid est un inkling. Les descendants du calamar. Il avait pris un peu de couleurs de peau depuis la dernière fois. Il avait la taille d’un jeune de quatorze ans, les yeux jaunes et les cheveux rouges.
Quant à Octoboy, c’est un Octarien. Les descendants du poulpe. Il était grand comme un garçon de seize ans, avait les yeux violets et ses cheveux étaient rose bonbon.
— Comment tu fais pour bronzer autant ? Demanda Octoboy
EvilSquid lui répondit les yeux fermés.
— C’est simple, je n’ai pas de crème solaire implanté dans mon ADN moi.
Octoboy fit la grimace, l’air fâché.
— Arrête de me parler de mon passé. On est parti en vacances pour oublier ces histoires. Si tu me les raconte six fois par jours, je vais avoir du mal à les oublier. Mais le point positif, c’est que je peux aller dans l’eau.
Il se leva de sa serviette et partit se rafraîchir dans l’eau salé de la mer.
— Il y a des choses qui sont dur à oublier. Chuchota EvilSquid à soi-même.
Lorsqu'il fut tard, nos deux héros rentrèrent à l’hôtel ou ils séjournaient. S'ils ont pu partir en vacances, c’est grâce à l’amiral Macalamar, Chef de la célèbre Escadron Espadon. EvilSquid et Octoboy Sont les agents numéro 7 et 8.
— tu sais où est passé numéro 4 ? Demanda Octoboy.
— Il est rentré à l’hôtel bien avant nous. Il doit être dans sa chambre. C'est la soixante-quatre.
Octoboy alla le voir. Numéro 4 était assis sur son lit d’un air pensif. Octoboy savait à quoi il pensait.
— Je sais que ce n’est pas facile d’assumer, mais on est en vacances. Macalamar a dit de décompresser un peu. Descends en bas. Il a préparé une fête pour notre dernier soir à l’hôtel.
Numéro 4 n’ouvrait pas la bouche. Il marchait comme un Salmonoïde. Ils descendirent dans la salle qu’avait réservé Macalamar.
— Voilà notre bon vieux numéro 4 ! Cria Macalamar. Alors comment ça va ?
Il ne répondit pas. Ses yeux commençaient à se noyer à nouveau dans des larmes.
— Et voilà ça recommence ! Cria numéro 5. Vous ne pourriez pas vous taire un peu papi ?
— Tu recommence à critiquer ma façon de faire, petite peste ?
— Exactement ! Répondit-elle. Vous n'en avez rien à faire que Numéro 3 soit mort, alors que c’est le seul à vous avoir autant aider à l’époque !
— j’avoue ! Intervient EvilSquid. Si moi j’avais vu une personne paraissant folle sortir sa tête d’une plaque d’égout, j’aurais appelé les autorités.
— ET BIEN SI MA FAÇON DE FAIRE NE VOUS PLAÎT PAS, JE NE VOUS FORCE PAS A RESTER DANS L’ESCADRON ESPADON ! TOUT LE MONDE DANS SA CHAMBRE ! LE PREMIER QUI PARLE ENCORE DE NUMÉRO 3 JE LUI MET UN DYNAMO ROULEAU LA OU JE PENSE !!!
Jamais on n'avait vu tous les agents sortir aussi vite d’une pièce. Octoboy regagna sa chambre, suivi par EvilSquid.
— Oh mon Nintendo ! Cria EvilSquid essoufflé. On a eu chaud !
— Je ne l’ai jamais vu dans un tel état ! Remarqua Octoboy.
— Moi non-plus répondit EvilSquid.
Ils s’allongèrent chacun sur leur lit. Le silence régna jusqu’à ce qu’une voix dans la tête d’Octoboy le fit sursauter.
— Je vais revenir mais pas toute seul ! J'ai besoins de vous ! À l’aide ! Il m’a fait prisonnière !
— Ferme-là espèce de calamar pas frait !
— AAAARG !
— Quoi ? Qu'est-ce qui se passe ? Demanda EvilSquid affolé.
— Rien... j’ai juste fait un mauvais rêve.
Alexis Pfister